DÉPAYZ’ARTS. Fontainebleau

DÉPAYZ’ARTS. Château de Fontainebleau par Edith Rappoportc31230bd187d4f73aa07273af5b980e7.jpeg

C’est la soirée de clôture d’un festival élaboré après deux ans de travail par José Manuel Gonçalvès de la Ferme du Buisson de Marne la Vallée, commandé par le Conseil Général de Seine et Marne. Après avoir surmonté des difficultés juridiques puisqu’il n’y avait pas eu d’appel d’offres, c’est Made in production, la structure porteuse des compagnies accueillies à la Ferme qui a conçu ce festival atypique éclaté sur quatre lieux du département. Nous sommes accueillis avec les officiels dans une splendide galerie du château avec un somptueux buffet, où sont projetées des images des interventions d’Opéra Pagaï et des artistes intervenant les jours précédents, avant d’être invités après une longue attente, à pénétrer dans l’immense parc habité par des milliers de torches de Carabosse. Didier Lockwood et sa vingtaine de musiciens lance la musique, il s’arrête bien vite. On est saisis par l’immensité de ce beau parc illuminé, mais on est bien loin de la dimension sociale de ce que le Channel de Calais a pu organiser depuis des années à la même époque.


Archive pour 1 janvier, 2009

DÉPAYZ’ARTS. Fontainebleau

DÉPAYZ’ARTS. Château de Fontainebleau par Edith Rappoportc31230bd187d4f73aa07273af5b980e7.jpeg

C’est la soirée de clôture d’un festival élaboré après deux ans de travail par José Manuel Gonçalvès de la Ferme du Buisson de Marne la Vallée, commandé par le Conseil Général de Seine et Marne. Après avoir surmonté des difficultés juridiques puisqu’il n’y avait pas eu d’appel d’offres, c’est Made in production, la structure porteuse des compagnies accueillies à la Ferme qui a conçu ce festival atypique éclaté sur quatre lieux du département. Nous sommes accueillis avec les officiels dans une splendide galerie du château avec un somptueux buffet, où sont projetées des images des interventions d’Opéra Pagaï et des artistes intervenant les jours précédents, avant d’être invités après une longue attente, à pénétrer dans l’immense parc habité par des milliers de torches de Carabosse. Didier Lockwood et sa vingtaine de musiciens lance la musique, il s’arrête bien vite. On est saisis par l’immensité de ce beau parc illuminé, mais on est bien loin de la dimension sociale de ce que le Channel de Calais a pu organiser depuis des années à la même époque.

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