Et si nous restons à Paris?
Et si nous restons à Paris?
D’abord merci à nos amis lecteurs, merci à nos collaborateurs ( et en particulier à Claudine Chaigneau à qui nous devons la mise en ligne quotidienne des papiers et des photos) de nous avoir suivi fidèlement pendant neuf mois – eh oui déjà- il y a eu 400 articles publiés par le théatre du blog et une moyenne de 11.000 hits ces derniers mois, et plus d’une centaine de commentaires , pas toujours gentils heureusement : cela prouve que le site est en bonne santé.
D’abord début juillet le Festival de Vitry: Nous n’irons pas à Avignon qui regroupe une dizaine de petites troupes qui a lieu dès demain 1er juillet jusqu’au 26 juillet; ce sont en général des jeunes compagnies et c’est un peu à la grâce de Dieu comme disait ma maman. A part celle de Mustapha Aouar qui dirige le festival et qui présente Les petites comédies de l’eau jusqu’au 5 juillet dans une ancienne petite gare. Difficile de vous en dire plus avant vendredi matin pour le moment; mais le lieu est maintenant bien connu et sympathique ; deplus Mustapha Aouar fait les choses sérieusement. Pour en savoir plus, il y a un site où vous trouverez plus d’informations.
Dans Paris, vous pouvez toujours aussi fréquenter Paris Quartiers d’été, où il y a plein de manifestations un peu partout ( danse, musique, cirque). Nous avons relevé pour vous: la célébrissime pièce de Maguy Marin: May be du 2 au 5 aôut au Palais-Royal; la performance de Josef Nadj Les Corbeaux à la Maison des Métallos et Le théâtre équestre de Bartabas au lever du soleil ( environ vers 5h 30 aux Tuileries, dans le parc de la Cité Universitaire et aux Arènes de Lutèce), et dans plusieurs autres lieux.
Nous vous souhaitons un bon été théâtral, avec ou sans festival, et nous continuerons à vous rendre compte encore de quelques spectacles un peu partout avant de partir pour Avignon.
Philippe du Vignal
Il y a aussi « Ca bute à Montmartre », festival gore, drôle et bien joué qui ressuscite le Grand Guignol pendant tout l’été au Cinbé 13 Théâtre, là-bas, en haut de la rue Lepic d’où le titre. 30 comédiens dans six pièces courtes (moins d’une heure chacune) montées par cinq metteurs en scène. Rires et frissons garantis. Il y a trois (ou quatre ?) programmes différents. C’est « second degré » mais bien foutu et sincère. Une curiosité.