LE CONTE ABRACADABRANT

LE CONTE ABRACADABRANT  Les batteurs de pavé Festival des Mômes Montbéliard 29

Manu Moser et Laurent Lecoultre qui jouaient Princesse Courage à Chalon dans la rue (voir ci-dessous), ont plus d’un tour dans leur sac. Ce conte abracadabrant part du même principe, on attendait les comédiens qui ne sont pas venus, les deux compères doivent donc faire jouer leurs personnages par des enfants. Manu trouve une adorable princesse qu’il revêt d’une robe blanche et d’une couronne, emprisonnées elle doit lever les bras et crier au secours dès qu’on prononce son nom. Ensuite c’est un chevalier bronzé qu’il revêt d’une cotte, il doit crier Taïaut, ce qu’il oublie régulièrement de faire et enfin une hydre jouée par trois enfants coiffés de ridicules bonnets verts.
Ne pas oublier le peuple, c’est nous le public qui doit lever le bras à la mention de son nom ! L’énergie déployée par les deux meneurs de jeu emporte encore une fois l’adhésion des spectateurs, il y a du théâtre et du vrai, malgré les costumes de bric et de broc, dans un rapport au public oublié de tant de nos scènes institutionnelles.

Edith Rappoport


Archive pour 30 août, 2010

LE CONTE ABRACADABRANT

LE CONTE ABRACADABRANT  Les batteurs de pavé Festival des Mômes Montbéliard 29

Manu Moser et Laurent Lecoultre qui jouaient Princesse Courage à Chalon dans la rue (voir ci-dessous), ont plus d’un tour dans leur sac. Ce conte abracadabrant part du même principe, on attendait les comédiens qui ne sont pas venus, les deux compères doivent donc faire jouer leurs personnages par des enfants. Manu trouve une adorable princesse qu’il revêt d’une robe blanche et d’une couronne, emprisonnées elle doit lever les bras et crier au secours dès qu’on prononce son nom. Ensuite c’est un chevalier bronzé qu’il revêt d’une cotte, il doit crier Taïaut, ce qu’il oublie régulièrement de faire et enfin une hydre jouée par trois enfants coiffés de ridicules bonnets verts.
Ne pas oublier le peuple, c’est nous le public qui doit lever le bras à la mention de son nom ! L’énergie déployée par les deux meneurs de jeu emporte encore une fois l’adhésion des spectateurs, il y a du théâtre et du vrai, malgré les costumes de bric et de broc, dans un rapport au public oublié de tant de nos scènes institutionnelles.

Edith Rappoport

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