Faut qu’je danse ! et Daphnis é Chloé

galottadaphne0411.jpgFaut qu’je danse ! et Daphnis é Chloé, conception et chorégraphie de Jean-Claude Gallotta .

 

C’est le printemps dans le ciel et sur le plateau nu du théâtre des Abbesses, qui accueille Jean-Claude Gallotta qui revient avec une création en forme de prologue qu’il danse seul Faut qu’je danse , et la reprise de Daphnis é Chloé avec trois jeunes danseurs, qui reprennent son rôle, celui de Mathilde Altaraz-épouse et assistante du chorégraphe- et celui de Pascal Gravat.
Jean-Claude Gallotta à 61 ans, avec sa tête de poussin sorti du nid, garde un enthousiasme, une jeunesse de corps et d’esprit intacte. Ce solo, représente pour lui une sorte de je me souviens dansé mais aussi lu qui raconte la création de Daphnis é Chloé en 1982, un trio qui a marqué l’histoire de sa compagnie.
A l’époque, Henri Torgue jouait au piano sur scène sa musique créée pour l’occasion, mais occupé par ses propres concerts, il l’a enregistrée pour le spectacle. C’est donc un vrai travail de transmission auquel le public assiste aujourd’hui. Et la danse contemporaine est confrontée de plus en plus à cette problématique de transmission.
Faut-il recréer des partitions chorégraphiques déjà mythiques comme dans le ballet classique ou pas ? Faut-il permettre à un nouveau public de découvrir des œuvres importantes du répertoire contemporain ou pas ? Jean Claude Gallotta a fait le choix d’une nouvelle découverte. Avec de remarquables interprètes, Francesca Ziviani, Nicolas Diguet et Sébastien Ledig. Chacun d’eux rayonne par sa présence, son énergie et sa fluidité.
Allez voir comment dans cette reprise Jean-Claude Gallotta se transforme en une sorte de Charles Trenet de la danse contemporaine qui insuffle à ses danseurs une joie de vivre très communicative….

Jean Couturier

 

Théâtre des Abbesses jusqu’au 30 avril.


Archive pour 21 avril, 2011

Faut qu’je danse ! et Daphnis é Chloé

galottadaphne0411.jpgFaut qu’je danse ! et Daphnis é Chloé, conception et chorégraphie de Jean-Claude Gallotta .

 

C’est le printemps dans le ciel et sur le plateau nu du théâtre des Abbesses, qui accueille Jean-Claude Gallotta qui revient avec une création en forme de prologue qu’il danse seul Faut qu’je danse , et la reprise de Daphnis é Chloé avec trois jeunes danseurs, qui reprennent son rôle, celui de Mathilde Altaraz-épouse et assistante du chorégraphe- et celui de Pascal Gravat.
Jean-Claude Gallotta à 61 ans, avec sa tête de poussin sorti du nid, garde un enthousiasme, une jeunesse de corps et d’esprit intacte. Ce solo, représente pour lui une sorte de je me souviens dansé mais aussi lu qui raconte la création de Daphnis é Chloé en 1982, un trio qui a marqué l’histoire de sa compagnie.
A l’époque, Henri Torgue jouait au piano sur scène sa musique créée pour l’occasion, mais occupé par ses propres concerts, il l’a enregistrée pour le spectacle. C’est donc un vrai travail de transmission auquel le public assiste aujourd’hui. Et la danse contemporaine est confrontée de plus en plus à cette problématique de transmission.
Faut-il recréer des partitions chorégraphiques déjà mythiques comme dans le ballet classique ou pas ? Faut-il permettre à un nouveau public de découvrir des œuvres importantes du répertoire contemporain ou pas ? Jean Claude Gallotta a fait le choix d’une nouvelle découverte. Avec de remarquables interprètes, Francesca Ziviani, Nicolas Diguet et Sébastien Ledig. Chacun d’eux rayonne par sa présence, son énergie et sa fluidité.
Allez voir comment dans cette reprise Jean-Claude Gallotta se transforme en une sorte de Charles Trenet de la danse contemporaine qui insuffle à ses danseurs une joie de vivre très communicative….

Jean Couturier

 

Théâtre des Abbesses jusqu’au 30 avril.

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