BALLETBOYZ, THE TALENT

Teatro a Corte,

Balletboys  chorégraphie de Michaël Nunn et Willian Trevitt.
Nous entrons dans un univers étrange et interlope, dans un univers exclusif de mâles où l’on exhibe ses muscles avec une belle maîtrise chorégraphique. Trois ballets se succèdent, la couleur en est exclue, on reste dans un monde sans pitié où règne la force brute. La tendresse n’en est pas néanmoins absente !
-Torsion de Russell Maliphant, un, deux, trois, quatre, cinq, six sept, huit danseurs s’affrontent, se lovent, s’enroulent, se jettent sur une musique guerrière assourdissante.
On reconnaît des pas de la chorégraphie classique, des déboulés jetés aux arabesques qui viennent se jeter dans ce nouveau West side story. -Alpha de Paul Roberts, cinq jeunes à capuches surgissent d’un film noir et blanc. Le fondu enchaîné est saisissant, on est dans les bas -fonds des faubourgs britanniques.
-Voici de Jacek Gemerek déchaîne neuf danseurs avec l’ironie du désespoir. Rainer Maria Rilke revient en mémoire “Car les grandes villes Seigneur, sont maudites. La panique des incendies couve en leur sein…”

Edith Rappoport

 

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