LA FORÊT

La Forêt de Kasem Trebeshina, mise en lecture de Cyril Levi-Provençal,

Malgré les difficultés engendrées par la réduction de l’équipe de la MEO (diminution des subventions),ce chaleureux petit lieu niché au creux des arcades de la Bastille, vient d’organiser Les Hivernales 2011, série de huit lectures d’auteurs des Balkans, depuis le 28 novembre.
Plus qu’une lecture, c’est une mise en espace dynamique interprétée par onze acteurs de bonne trempe, avec des effets techniques dirigés par Dominique Dolmieu. Ils sont assis dos à dos au centre de la la salle minuscule, nous les entourons, ils se lèvent munis de quelques éléments de costumes quand leur personnage intervient.
C’est une odyssée contemporaine, Ulysse qui s’est perdu, qui oublié jusqu’à son nom, croise des personnages étranges et menaçants, un roi qui ne sait pas sur qui il règne, un couple à la recherche de Nausicaa, qui tombe amoureuse d’Ulysse. Tous les personnages sont en quête de quelque chose, Nausicaa voudrait partir avec Ulysse, mais celui-ci retrouve ses marins en même temps que son identité et repart sur les mers. Cette pièce énigmatique a été traduite de l’albanais par Anne-Marie Autissier.

Edith Rappoport

Maison d’Europe et d’Orient.

 

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