THE BEST OF LÉO BASSI

 

The best of Léo Bassi 

THE BEST OF LÉO BASSI  leobassiLéo Bassi, aujourd’hui installé en Espagne, mais né aux Etats-Unis d’un père italo-français et d’une mère anglo-italienne , a aussi du sang autrichien et polonais). Il est  issu d’une grande famille de cirque  milanaise, et a écumé depuis plus de trente ans toutes les places publiques du monde,  en déclenchant une hilarité bienfaisante… Mais,  pour le festival des arts de la rue organisé par l’Espace Jemmapes, on le voit pour la première fois sur un  grand plateau comme celui de l’Alhambra.
Il a  des lunettes noires, et tâtonne comme un  aveugle, en  traînant un petit landau jusqu’à une grande structure gonflable jaune et rouge, simulant un château.Il s’assied, enlève ses lunettes et commence : “J’ai toujours eu certaines difficultés pour me définir. Au mot clown, j’ai toujours préféré le mot bouffon. Vous avez gâché 15 € pour voir un spectacle de merde”. Léo Bassi se situe comme un intellectuel de gauche, visionnaire aveugle, dans la lignée de Rabelais. “Ça fait vingt ans que j’habite en Espagne, nous sommes 45 millions qui risquons de tomber dans un trou économique !”
Il raconte ses frasques d’enfant dans les années 50, où la seule distraction était d’aller nourrir les pigeons sur la place du Dôme, il les haïssait encore plus que les enfants et avait enflammé un gros pétard qui leur avait fait déserter la place pendant plusieurs jours, au grand dam des visiteurs.
Impossible de rendre compte  de tout ce monologue hilarant, un peu trop long, qui se termine par un soi-disant numéro d’hypnotisme sur des spectateurs complices, avec de la mousse à raser, numéro qui en a abusé plus d’un, et le gonflage d’un grand  canard jaune. Joanna Bassi sa soeur, elle aussi artiste et Maman Bassi étaient à la sortie, qui regrettaient le Papa “le vrai Léo Bassi” disparu !

Edith Rappoport

 

Le Temps des rues à l’Alhambra du 29 avril au 1 er mai. Puis en tournée.



Archive pour 1 mai, 2012

THE BEST OF LÉO BASSI

 

The best of Léo Bassi 

THE BEST OF LÉO BASSI  leobassiLéo Bassi, aujourd’hui installé en Espagne, mais né aux Etats-Unis d’un père italo-français et d’une mère anglo-italienne , a aussi du sang autrichien et polonais). Il est  issu d’une grande famille de cirque  milanaise, et a écumé depuis plus de trente ans toutes les places publiques du monde,  en déclenchant une hilarité bienfaisante… Mais,  pour le festival des arts de la rue organisé par l’Espace Jemmapes, on le voit pour la première fois sur un  grand plateau comme celui de l’Alhambra.
Il a  des lunettes noires, et tâtonne comme un  aveugle, en  traînant un petit landau jusqu’à une grande structure gonflable jaune et rouge, simulant un château.Il s’assied, enlève ses lunettes et commence : “J’ai toujours eu certaines difficultés pour me définir. Au mot clown, j’ai toujours préféré le mot bouffon. Vous avez gâché 15 € pour voir un spectacle de merde”. Léo Bassi se situe comme un intellectuel de gauche, visionnaire aveugle, dans la lignée de Rabelais. “Ça fait vingt ans que j’habite en Espagne, nous sommes 45 millions qui risquons de tomber dans un trou économique !”
Il raconte ses frasques d’enfant dans les années 50, où la seule distraction était d’aller nourrir les pigeons sur la place du Dôme, il les haïssait encore plus que les enfants et avait enflammé un gros pétard qui leur avait fait déserter la place pendant plusieurs jours, au grand dam des visiteurs.
Impossible de rendre compte  de tout ce monologue hilarant, un peu trop long, qui se termine par un soi-disant numéro d’hypnotisme sur des spectateurs complices, avec de la mousse à raser, numéro qui en a abusé plus d’un, et le gonflage d’un grand  canard jaune. Joanna Bassi sa soeur, elle aussi artiste et Maman Bassi étaient à la sortie, qui regrettaient le Papa “le vrai Léo Bassi” disparu !

Edith Rappoport

 

Le Temps des rues à l’Alhambra du 29 avril au 1 er mai. Puis en tournée.


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