Saltbush

Saltbush par la compagnie TPO et Insite Arts

Saltbush ccc-saltbush2Prendre un enfant par la main est une réalité qui résume bien le spectacle présenté par l’union de deux groupes australien et italien, en coproduction avec le Teatro Metastasio Stabile de Toscan, à l’invitation du Musée du quai Branly, dans le cadre des manifestations autour de l’exposition Aux sources de la peinture Aborigène. Deux danseuses et un danseur emportent le jeune public dans les esthétiques du monde aborigène, aidé en cela par la musique de Lou Bennett, un artiste de la même origine .
Une traduction simultanée permet  de comprendre le récit, qui nous fait traverser une Australie imaginaire.Mais le principal élément de jeu est un « tapis magique », composé d’une projection au sol de 40 dessins mobiles conçus par un autre artiste aborigène Delwyn Mannix. Les enfants sont invités à explorer, à jouer et à danser avec les acteurs, au fur et à mesure que le paysage évolue autour d’eux. Ils rencontrent le trafic d’une ville, des animaux inconnus, et découvrent le boomerang. Ils jouent sous un ciel étoilé, grâce à une simple toile tendue au-dessus d’eux.
L’ensemble est esthétiquement très réussi, développant un monde fictif qui adhère aux propositions au-delà des mots. Il est rare de trouver un spectacle qui,  avec un langage commun aux parents et aux enfants, emporte autant l’adhésion, et de manière intelligente en cinquante minutes.

Jean Couturier

Spectacle joué au théâtre Claude Lévi-Strauss du 31 octobre au 4 novembre au théâtre Claude Lévi-Strauss. »

www.quaibranly.fr

www.insitearts.com.au


Archive pour 8 novembre, 2012

Saltbush

Saltbush par la compagnie TPO et Insite Arts

Saltbush ccc-saltbush2Prendre un enfant par la main est une réalité qui résume bien le spectacle présenté par l’union de deux groupes australien et italien, en coproduction avec le Teatro Metastasio Stabile de Toscan, à l’invitation du Musée du quai Branly, dans le cadre des manifestations autour de l’exposition Aux sources de la peinture Aborigène. Deux danseuses et un danseur emportent le jeune public dans les esthétiques du monde aborigène, aidé en cela par la musique de Lou Bennett, un artiste de la même origine .
Une traduction simultanée permet  de comprendre le récit, qui nous fait traverser une Australie imaginaire.Mais le principal élément de jeu est un « tapis magique », composé d’une projection au sol de 40 dessins mobiles conçus par un autre artiste aborigène Delwyn Mannix. Les enfants sont invités à explorer, à jouer et à danser avec les acteurs, au fur et à mesure que le paysage évolue autour d’eux. Ils rencontrent le trafic d’une ville, des animaux inconnus, et découvrent le boomerang. Ils jouent sous un ciel étoilé, grâce à une simple toile tendue au-dessus d’eux.
L’ensemble est esthétiquement très réussi, développant un monde fictif qui adhère aux propositions au-delà des mots. Il est rare de trouver un spectacle qui,  avec un langage commun aux parents et aux enfants, emporte autant l’adhésion, et de manière intelligente en cinquante minutes.

Jean Couturier

Spectacle joué au théâtre Claude Lévi-Strauss du 31 octobre au 4 novembre au théâtre Claude Lévi-Strauss. »

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