Le Passage


Nouvelles zébrures: Le Passage de Fadwa Suleiman, lecture dirigée par Catherine Boskowitz.

Chaque printemps, la Maison des auteurs des Francophonies en Limousin présente en lecture à Paris et dans le Limousin des pièces d’auteurs francophones venus des quatre coins du monde.
Une femme seule en scène répond aux questions d’une voix ou des voix qui l’habitent. Faut-il ou non prendre les armes contre le dictateur ? « Un fusil, un pistolet ne fait pas reculer un blindé « . Mais  » il vaut mieux mourir assassiné qu’assassin »…Tant ont été assassinés qu’ils ont dû prendre les armes. « La Syrie veut la liberté : « Dégage Bachar »
Faut-il partir pour sauver sa peau ou rester et mourir. Que faire en exil pour continuer la lutte ? La femme dialogue avec ses amis restés là-bas,les exhorte au pacifisme, invective l’ ennemi, interroge le ciel ; elle lance aussi un appel à la beauté à la vie,à l’amour. Au-delà de la situation syrienne,  sa voix est une hymne à la liberté contre l´universelle barbarie.
Une parole puissante se dégage de ce poème dramatique, porté pas son auteure avec la ferveur de la combattante qu’elle est. Réfugiée politique en France depuis avril 2012, la jeune comédienne écrit et intervient pour dénoncer le situation en Syrie. Ici, tantôt en arabe qu’elle fait harmonieusement sonner, tantôt dans un français fiévreux, elle nous fait partager son combat : déjà un pas contre l’impuissance.
La pièce devrait être mise en scène la saison prochaine par Catherine Boskowitz mais  on peut déjà la lire….

Mireille Davidovici

Le texte est publié aux Éditions Lansman


Archive pour 31 mars, 2013

Le Passage


Nouvelles zébrures: Le Passage de Fadwa Suleiman, lecture dirigée par Catherine Boskowitz.

Chaque printemps, la Maison des auteurs des Francophonies en Limousin présente en lecture à Paris et dans le Limousin des pièces d’auteurs francophones venus des quatre coins du monde.
Une femme seule en scène répond aux questions d’une voix ou des voix qui l’habitent. Faut-il ou non prendre les armes contre le dictateur ? « Un fusil, un pistolet ne fait pas reculer un blindé « . Mais  » il vaut mieux mourir assassiné qu’assassin »…Tant ont été assassinés qu’ils ont dû prendre les armes. « La Syrie veut la liberté : « Dégage Bachar »
Faut-il partir pour sauver sa peau ou rester et mourir. Que faire en exil pour continuer la lutte ? La femme dialogue avec ses amis restés là-bas,les exhorte au pacifisme, invective l’ ennemi, interroge le ciel ; elle lance aussi un appel à la beauté à la vie,à l’amour. Au-delà de la situation syrienne,  sa voix est une hymne à la liberté contre l´universelle barbarie.
Une parole puissante se dégage de ce poème dramatique, porté pas son auteure avec la ferveur de la combattante qu’elle est. Réfugiée politique en France depuis avril 2012, la jeune comédienne écrit et intervient pour dénoncer le situation en Syrie. Ici, tantôt en arabe qu’elle fait harmonieusement sonner, tantôt dans un français fiévreux, elle nous fait partager son combat : déjà un pas contre l’impuissance.
La pièce devrait être mise en scène la saison prochaine par Catherine Boskowitz mais  on peut déjà la lire….

Mireille Davidovici

Le texte est publié aux Éditions Lansman

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